LE MOIS LE PLUS FROID
Lorsque la morsure de l’hiver est trop forte, il peut être agréable de se protéger du froid en demeurant à l’intérieur. Heureusement, rien ne nous empêche de voyager à travers les pays nordiques sans quitter le confort d’une couverture.
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
Mon jardin, ce n’est pas un jardin, c’est la plaine
Mon chemin, ce n’est pas un chemin, c’est la neige
Mon pays, ce n’est pas un pays, c’est l’hiver
– Gilles Vigneault
Ermitage
(n.f.)
1. Habitation d’un ou de plusieurs ermites.
2. Littéraire. Lieu solitaire et écarté ; maison de campagne retirée.
Ermitage
(n.f.)
1. Habitation d’un ou de plusieurs ermites.
2. Littéraire. Lieu solitaire et écarté ; maison de campagne retirée.
« Anouk a quitté son appartement confortable de Montréal pour un refuge forestier délabré au Kamouraska. Encabanée loin de tout dans le plus rude des hivers, elle livre son récit sous forme de carnet de bord, avec en prime listes et dessins. »
« Les centimètres de neige s’accumulent et chaque journée laisse présager le pire. Tiendront-ils le coup ?
« Je me tenais devant elle, et un frisson que je croyais dû à une bourrasque me parcourut le cou. Allais-je vraiment vivre là-dedans désormais ? Serait-ce là mon foyer pour les sept mois à venir ? Seul, durant tout un hiver ? »
« Anouk a quitté son appartement confortable de Montréal pour un refuge forestier délabré au Kamouraska. Encabanée loin de tout dans le plus rude des hivers, elle livre son récit sous forme de carnet de bord, avec en prime listes et dessins. »
« Les centimètres de neige s’accumulent et chaque journée laisse présager le pire. Tiendront-ils le coup ? Un huis clos apocalyptique où la violence de l’hiver révèle la souffrance et la solitude d’un monde engourdi par le froid. »
« Je me tenais devant elle, et un frisson que je croyais dû à une bourrasque me parcourut le cou. Allais-je vraiment vivre là-dedans désormais ? Serait-ce là mon foyer pour les sept mois à venir ? Seul, durant tout un hiver ? »
Lorsqu’elle se réveille ce matin-là, Holly, angoissée, se précipite dans la chambre de sa fille. Tatiana dort encore, paisible. Dehors, le blizzard s’est levé ; les invités ne viendront pas. Au fil des heures, ponctuées par des appels téléphoniques anonymes, Tatiana devient irascible, étrange, inquiétante.
Un laboratoire clandestin perdu en Sibérie, un scientifique soviétique qui joue les apprentis sorciers avec le cadavre d’une femme vieille de quarante mille ans, un Indien du Canada en mission pour la CIA… Une course-poursuite aux confins de la taïga gelée sur fond de guerre froide et de délires staliniens…
Peu avant Noël, à Copenhague, un garçon groenlandais de six ans se tue en tombant du toit d’un immeuble. Accident, conclut la police. Tel n’est pas l’avis de Smilla Jaspersen. Elle connaît l’enfant. Et, surtout, elle «connaît» la neige : de son enfance à Thulé, elle a gardé une perception et un amour aigus des espaces vierges.
Grands espaces
Jack London, dont la réputation n’est plus à faire en termes de romans nordiques, nous propose un roman de formation – ou plutôt de déformation – dans lequel nous suivons les épopées de Buck, un chien originaire de la Californie qui se retrouve dans le Grand Nord. Il y fera la découverte de ses racines bien enfouies, un instinct auquel il est difficile d’échapper.
Jack London, dont la réputation n’est plus à faire en termes de romans nordiques, nous propose un roman de formation – ou plutôt de déformation – dans lequel nous suivons les épopées de Buck, un chien originaire de la Californie qui se retrouve dans le Grand Nord. Il y fera la découverte de ses racines bien enfouies, un instinct auquel il est difficile d’échapper.
Parue initialement il y a 50 ans, cette œuvre est revisitée grâce à la première version traduite à partir du texte original. Considéré comme le premier roman en inuktitut jamais publié, ce livre de Markoosie Patsauq nous révèle une histoire digne d’une tragédie grecque. Bien que cette aventure ne compte qu’une centaine de pages, les épreuves se multiplient pour créer une épopée grandiose. Si le vocabulaire employé parait simple, son utilisation rappelle un conte dont la complexité relève de la morale qui en est dégagée. Lorsqu’un ours attaque le village, Kamik, fils de Salluq se verra projeté dans la vie d’adulte et devra affronter le redoutable pays nordique.
Parue initialement il y a 50 ans, cette œuvre est revisitée grâce à la première version traduite à partir du texte original. Considéré comme le premier roman en inuktitut jamais publié, ce livre de Markoosie Patsauq nous révèle une histoire digne d’une tragédie grecque. Bien que cette aventure ne compte qu’une centaine de pages, les épreuves se multiplient pour créer une épopée grandiose. Si le vocabulaire employé parait simple, son utilisation rappelle un conte dont la complexité relève de la morale qui en est dégagée. Lorsqu’un ours attaque le village, Kamik, fils de Salluq se verra projeté dans la vie d’adulte et devra affronter le redoutable pays nordique.
On retrouve ici la qualité de la plume de Dominique Fortier, autrice du livre Les villes de papier et récipiendaire du distingué Prix Renaudot. Les équipages des navires Terror et Erebus se retrouvent coincées dans les glaces de l’Articque en mai 1845. Une oeuvre qui « mêle avec bonheur le roman au journal, l’histoire, la poésie, le théâtre, le récit d’aventures, le traité scientifique et la recette d’un plum-pudding réussi.»
On retrouve ici la qualité de la plume de Dominique Fortier, autrice du livre Les villes de papier et récipiendaire du distingué Prix Renaudot. Les équipages des navires Terror et Erebus se retrouvent coincées dans les glaces de l’Articque en mai 1845. Une oeuvre qui « mêle avec bonheur le roman au journal, l’histoire, la poésie, le théâtre, le récit d’aventures, le traité scientifique et la recette d’un plum-pudding réussi.»
J’ai besoin de l’hiver.
Car pendant que la nature se repose, l’esprit, lui, peut entrer en ébullition.
– Jan Sverak
S’il n’y avait pas d’hiver, le printemps ne serait pas si agréable : si nous ne goûtions pas à l’adversité, la réussite ne serait pas tant appréciée.
– Anne Bradstreet
Romans jeunesse
9 – 12 ans
Quand il fait trop froid pour aller jouer dehors, rien de mieux qu’un roman pour s’occuper! Voici quatre coups de coeur de nos libraires dans lesquels l’hiver est un personnage en soi. L’âge récommandé n’est qu’une sugggestion, tout dépend du niveau de lecture.
Romans jeunesse
9 – 12 ans
Quand il fait trop froid pour aller jouer dehors, rien de mieux qu’un roman pour s’occuper! Voici quatre coups de coeur de nos libraires dans lesquels l’hiver est un personnage en soi. L’âge récommandé n’est qu’une sugggestion, tout dépend du niveau de lecture.
Romans jeunesse
13 – 16 ans
Bien que classés comme littérature jeunesse, il va sans dire que ces livres peuvent être appréciés des adultes, la preuve : nos libraires les adorent! Plongez-vous dans des univers réinventés et retrouvez votre coeur d’enfant.
Romans jeunesse
13 – 16 ans
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